mercredi 3 novembre 2010

L'énigme de la semaine


Réponses de la semaine passées postées sous vos propositions.

Voici l'énigme de la semaine...
D'où provient l'expression "avoir l'épée de Damoclès au dessus de la tête"?

Bon courage et à la semaine prochaine!

5 commentaires:

Noukette a dit…

Rhooooooo, mais tu mets nos neurones à rude épreuve !!! J'avoue que je n'en ai absolument aucune idée ! ;-)

Anonyme a dit…

Je me souviens de ma prof de latin nous l'expliquer. Mais ma mémoire semble défaillante...
Je crois qu'il s'agit d'une épée tenue à un fil au dessus de la tête de Damoclès, mais pourquoi cette punition??? je sais plus...
A moins que j'aie imaginer tout ça... ;)

nathalie a dit…

Je crois aussi à l'épée tenue par un fil au dessus de la tête de ce pauvre Damoclès (surement les cours de latin de mes filles), mais pourquoi ? peut-être un mauvais comportement avec un(e) prof ?

Fanny a dit…

Oui oui c'est bien l'histoire d'un fil !!hihi mais pourquoi???

Fanny a dit…

Alors voici un petit texte pour vs raconter toute l'histoire et comprendre d'où vient l'expression. Denys de syracuse était un riche tyran. Il parlait avec Damoclès, un de ses courtisans qui louait les richesses, le prestige, la splendeur du palais et concluait que personne n'avait été plus heureux. Denys lui répondit"Eh bien! Damoclès, puisque mon existence te sourit, veux tu y gouter toi-même et faire l'épreuve de mon bonheur". Denys fit installer notre homme sur un lit d'or.(...) On apporte vaisselle en or, broderies, esclaves qui avaient pour consigne de faire le service sur un signe de Damoclès. Ce dernier était au comble du bonheur ...Au milieu de la fête, Denys fait suspendre au plafond, attaché à un crin de cheval au dessus de la tête de Damoclès un glaive étincelant.Dès lors, Damoclès ne se soucie de rien d'autres que de cela: fini l'or , le luxe... Il finit par supplier le tyran de l'autoriser à se retirer, parce que, disait-il, il ne voulait plus être heureux. Denys pouvait-il faire entendre plus clairement qu'il n'y a point de bonheur pour qui est toujours sous le coup d'une menace terrible (en l'occurence l'assassinat)
[Si vs voulez plus de détails, un petit tour dans le livre de Cicéron , Tusculanes, II, V, 61-62)